C'est.... la trêve hivernale !

Comme vous l'avez sans doute remarqué, le chantier de restauration du Fl.B 442 n'a pas beaucoup avancé ce mois-ci, et pour cause: Difficile de restaurer un bateau de collection en Alsace l'hiver sous des températures négative.

L'équipe de l'A.S.P.H.M est donc restée dans les ateliers afin de continuer la restauration des bouées du bateau, et de poursuivre d'autres chantiers de restauration de véhicules, mais cette fois-ci à roues.

Maintenant que les bouées sont en place, le chantier du FLB est complètement stoppé pour l'hiver.

Le chantier redémarrera donc au printemps.

Vous pourrez continuer à suivre nos acquisitions et nos restaurations de véhicules terrestres sur notre site http://www.asphm.com .

Nous vous réservons d'ailleurs de très belles surprises pour le début de l'année, en provenance direct de l'Indiana...

D'ici là, toute l'équipe vous souhaite de passer d’excellentes fêtes, et nous vous donnons rendez-vous en 2013 !

A bientôt, et bon vent !!!

Auteur : ML

C'est la fin... des bouées !

Nous terminons la restauration des deux bouées.

Mise en place du pochoir sur la première bouée, puis réalisation du marquage à la peinture blanche.

Pour la seconde, après l'avoir entièrement réparée, puis peinte en rouge, nous réalisons les bandes blanches en toile, avant de les recouvrir de peinture blanche.

Puis remontage de la corde, et réalisation des marquages Fl.B 442.

Nous pouvons maintenant les mettre en place sur le bateau.

L’électricien a terminé le branchement des deux lampes murale verte et rouge.

Grâce à un système de minuterie, elles s'allument chacune par intermittence pendant deux minutes.

Auteur : ML

Les bouées.

La première bouée reçoit aujourd'hui ces quatre bandes blanches.

Pour cela, nous délimitons leurs contours à l'aide de scotch papier.

Nous appliquons ensuite la peinture blanche entre les bandes de scotch sur une face, puis sur la seconde.

Nous sommes contraint de peindre ces bandes blanches en trois couches, la peinture rouge étant difficilement couverte par de la peinture blanche.

Pour la seconde bouée, une deuxième couche de résine est appliquée recto/verso après le ponçage de la première.

Une fois sec, cette deuxième couche est également poncé.

Maintenant que toutes les larges réparations du tissu sont effectuées, les raccords et les enfoncements secs sont effacés à l'aide de mastic de carrossier, également poncé après séchage.

Une première couche de peinture rouge sera appliquée afin de faire ressortir les derniers défauts éventuellement restant.

Auteur : ML

Petites finitions : Début de la fin !

La porte de la première boite électrique de décoration reçoit aujourd'hui son marquage au pochoir.

Le positionnement de celui-ci ce fait à l'aide d'un photomontage réalisé par l'équipe de graphiste.

La deuxième boite est mise en peinture noir mat, puis elle aussi est marquée de l'éclair rouge et de l'inscription " Achtung !"

Une fois toutes les peintures sèche, la boite et fixée au mur du port, et dissimule maintenant la prise électrique 380 Volts.

Les deux dernières baguettes des portes sont recouvertes de primaire beige, puis, une fois sec, elles sont fixées sur les portes de la cabine.

Leurs contours sont protégés de scotch papier avant mise en peinture.

Malheureusement, la température actuel en Alsace, stop le premier coup de rouleau de peinture Hellgrau. Le froid rendant la peinture trop épaisse et filante.

Nous attendrons donc un radoucissement pour peindre les huit baguettes en gris.

Retour à l'atelier pour continuer la restauration des bouées : La première reçoit ses deux couches recto-verso de rouge, tandis que la seconde est recouverte au verso de résine, avant ponçage.

Auteur : ML

Bouée de sauvetage n°2, et boite métallique...

La bouée de sauvetage reçoit maintenant sa première couche de peinture rouge signalisation.

Le facteur nous apporte aujourd'hui une bouée similaire à celle que nous avons déjà, mais dans un état bien moins reluisant...

La restauration de cette bouée commence alors:

Les partie en toile qui se décolle, et les zones ou la toile est manquante, sont recouverte d'un filet en coton imbibé de résine transparente, et ce afin de pouvoir poncer " du dur ".

D’autre part, dans un souci d'ambiance « 1939-1945 », nous avons réalisé toutes l'installation électrique du port en se rapprochant au plus près du style d'époque, tout en s'adaptant aux réglementations en vigueur.

Cependant, certains équipements électriques ne peuvent être " vieillis".

C'est pourquoi nous avions fabriqué une caisse métallique à serrure permettant de cacher le boitier de commande du rideau métallique du port.

Aujourd'hui, c'est une prise électrique 380 volts que nous devons dissimuler.

Nous fabriquons donc un deuxième caisson en acier, réalisé en cornière de 20x20 et en tôle de 3mm d'épaisseur, le tout avec quasiment aucune soudure visible (hormis celle des charnières), et ceci afin de se rapprocher des types de fabrication d'époque.

Une fois fabriqué, la caisse est mise en apprêt avant de recevoir une peinture noir mat, et un marquage au pochoir inspiré de celui rencontré sur une plaquette d'un groupe électrogène allemand d'époque.

Nous recevons également des conseils avisés pour réaliser les nœuds marins des cordages aux bollards.

Nous mettons les quatre nouvelles baguettes fraichement peintes sur les deux portes de la cabine, et découpons enfin les deux manquantes.

Après perçage et fraisage, elles seront elles aussi peinte en primaire beige.

Auteur : ML

Petites finitions...

La lanterne rouge est aujourd'hui réassemblée à l'atelier, puis installée sur le bateau.

Le couvercle bombé, manquant sur cette lanterne, est en attente de fabrication chez le menuisier.

Nous avons fait le choix de le refabriquer en bois, en attendant d'en trouver un d'origine en cuivre.

Des retouches de peinture grise sont effectuées sur deux des caisses à munitions, et voilà maintenant les 12 caisses, présentées sur le quai.

La longue fabrication des baguettes ce poursuit...

Les deux baguettes peintes en primaire sont fixées définitivement au bateau.

Encore 2 pièces de ce type à fabriquer, et ce travail minutieux sera terminé.

La bouée de sauvetage reçois aujourd'hui sa sous couche primaire rouge brique, avant un dernier ponçage des défauts, et une mise en peinture rouge signalisation.

Les dernières ampoules des appliques murales sont arrivées, l'éclairage du port est maintenant complet.

Auteur : ML

FLB : Amarré !

Nous mettons aujourd'hui les amarres en place.

Ce cordage en chanvre est arrimé aux quatre bollards du port, et à quatre doubles taquets du bateau.

L'élasticité du chanvre augmente le ressentit du tangage lors de nos déplacement à bord. Sensation garantit !

Les marquages des caisses sont terminés, nous transférons l'ensemble des caisses, de l'atelier au port.

La décoration du port prends forme petit à petit !

Nous continuons également à fabriquer les baguettes des contours de porte.

La fabrication et assez longue, chaque baguette étant coupée sur mesure, puis tracée, percée, et enfin fraisée, avant d’être mise en primaire puis en peinture.

Auteur : ML

Cordages et caisses à munitions.

Les cordages d'amarrage du bateau sont arrivés, nous avons souhaité les faire refabriquer en chanvre naturel, comme à l’époque.

Une extrémité de chaque « bouts » est terminée par une boucle épissée.

La réalisation des marquages sur les caisses en bois ce poursuit. Les caisses seront demain mises en place au port.

La 2ème lanterne reçoit aujourd'hui sa couche extérieure de peinture primaire.

Auteur : ML

Remontage des portes, découpe des baguettes.

Nous remontons aujourd'hui les 2 portes de la cabine du bateau.

Nous commençons également à refabriquer les baguettes d'encadrement de ces portes.

Chaque baguette en aluminium est recoupée sur mesure puis fixée comme à l'origine à l'aide de vis à bois, tête fendue plate fraisée.

Les 2 bollards extérieurs étant maintenant fixés, nous effectuons des retouches de peinture noir sur les huit boulons de scellement.

Auteur : ML

Bouées, portes, et lanterne bâbord.

Les quatre bouées « par-bateau » sont arrivées.
Après les avoir gonflées à l'air comprimé, nous pouvons les envoyer dans une corderie ou elles seront recouvertes de chanvre tressé, afin de leurs redonner un aspect d’époque.

Les faces extérieures des portes de la cabine sont recouvertes d'une couche d'Hellgrau. Nous pourrons demain, les refixer dans leurs cadres respectifs.

Petite séance de tôlerie pour la lanterne bâbord.

Afin de faire disparaitre le gros enfoncement de la partie supérieur de celle-ci, nous fabriquons un outil, sorte de chasse-à-bomber, qui nous permet de remettre la tôle en forme.

A la fin du dé-cabossage, l'intérieur de la lanterne est peint en blanc.

La refabrication des contours de portes extérieur en plat d‘aluminium à également commencé…

Auteur : ML

Marquages des caisses et caillebotis, suite.

Après une deuxième couche d'huile de teck, et un séchage en conséquence, les 2 caillebotis retrouve leurs places définitives sur le bateau.

Nous pouvons maintenant commencer les marquages des caisses à munition en bois…

Au port, la mise en place des décorations continue, les 2 lampes précédamment restaurées sont maintenant fixées et câblées.

Les 2 bollards extérieurs sont également scellés au sol.

Auteur : ML

Lanterne tribord et caillebotis, suite et fin.

Le rabotage et le ponçage des 20 lattes et des 8 contre-lattes ce termine aujourd’hui.

Nous remontons maintenant les deux structures à l'aide des 120 vis en inox.

Nous mettons en place " à blanc" les caillebotis sur le bateau pour vérifier leurs équerrages, puis nous les recouvrons d'huile de teck au pinceau.

Une deuxième couche de ce produit et encore nécessaire avant de les remettre en place définitivement.

Côté lanterne, les optiques verte et transparent sont remis en place, et l'ensemble et installer dans son boitier support côté tribord.

La face intérieure des portes de la cabine sont recouverte de primaire beige avant une mise en peinture grise.

Auteur : ML

Menuiserie et pochoirs " aigle"

Après le pochoir "Patronenkasten", les graphistes réalisent aujourd’hui le marquage type «tampon » de la Kriegsmarine.

Leur travail est basé sur une photo d'un Waffenamt présent sur la caisse de transport d'un télémètre de notre collection.

Après avoir dessiné le marquage sur ordinateur, un pochoir test est réalisé.

Nous l'apposons de nouveau sur notre panneau de bois pour un essaie peinture.

Le problème de collage du pochoir est important, mais nous arrivons à le mettre en peinture à l'éponge légèrement imbibée.

Le graphisme est bon, la découpe des 12 pochoirs est donc lancée.
Mais le problème de mise en place reste entier.
Nous effectuons alors un deuxième essai en ajoutant de la colle repositionnable en spray sur la face collante du pochoir afin d'augmenter l'adhérence de celui-ci.
Résultat concluant.
Nous sommes maintenant prêt pour peinture les 12 caisses à l'aide de ces 24 pochoirs.

Un grand bravo aux graphistes !

Côté menuiserie, le vitrage de la porte tribord est arrivé.

Malheureusement, au vu des températures actuel en Alsace, nous ne pouvons plus prévoir la mise en peinture de ces portes dans le port. Nous décidons donc de démonter ces deux pièces et de les ramener à l'atelier.

Là nous mettons en place le vitrage, ainsi que son encadrement mouluré, refabriqué en bois.

Les vis utilisées, ainsi que leurs emplacements sont les même qu’à l’origine.

Une fois le montage terminé, les portes reçoivent leur sous-couche beige, côté extérieur du bateau.

La restauration de la plateforme en bois exotique ce poursuit.

Le dessous des lattes sont rabotées/ poncées afin de supprimer les dégâts dû à l'eau de pluie, et leurs faces supérieurs sont également poncées.

La lanterne est maintenant peinte en gris, il ne reste plus qu'à remonter sa petite porte, son optique, son filtre de couleur et à installer le tout sur le bateau.

Auteur : ML

Marquages des caisses et caillebotis.

Le découpage du premier pochoir "test" est lancé.

Le procédé est le même que celui utilisé pour réaliser les marquages " FLB 442" sur la coque.

Les graphistes ont cette fois du travailler sur la photo d'une caisse à munition d'époque, trouvée sur le site de référence des caisses à munitions allemandes : "Wehrmachts Kisten"

Vous pouvez consulter cet excellent site à l'adresse : http://wehrmachts.kisten.free.fr/

Une fois la découpe terminée, et le pochoir contrecollé, nous souhaitons réaliser un marquage test pour déterminer quel type d’application de la peinture convient le mieux.

Une planche en bois est peinte en gris "Hellgrau" puis, une fois que cette peinture est sèche nous apposons le pochoir sur le bois.

Premier constat, l'adhésif du pochoirs n'est pas vraiment efficace sur la planche, sans doute à cause de l'écartement des fibres du bois. Le collage n'est pas vraiment évident, surtout pour les intérieurs de lettres.

Une fois le pochoir entièrement appliqué, ses bords sont maintenus à l'aide de scotch de peintre.

La première partit du marquage, c'est à dire " Patron" est recouvert de peinture noir en aérosol.

Après décollage final du pochoir, nous constaterons que la peinture est trop liquide, et coule sous le pochoir.

La deuxième partie, "enkasten", est recouverte de peinture à l'éponge saturée.

Même problème que le premier test, trop de coulure, malgré une peinture non diluée, donc plus épaisse.

3ème essai, le " M/34" : à l'éponge, mais cette fois ci très légèrement imbibée de peinture. Le résultat est très sympa: pas de coulure, et une peinture légèrement granuleuse, laissant apparaitre quelques petits points de gris Hellgrau, donnant un effet ancien.

Dernière essai sur le "f.M.G. C/30", en appliquant la peinture au rouleau, le résultat est moyen, et le pochoir à tendance à se soulever sous le passage du rouleau.

Nous concluons donc, il faut réaliser ces marquages à l'éponge légèrement imbibé de peinture.

La découpe des 12 pochoirs peut donc être lancée.

La lanterne reçoit aujourd'hui sa couche de primaire beige, avant une mise en gris demain.

La restauration des caillebotis continu. Nous avons finalement décidé de garder les lattes d'origine abimées, tout en atténuant au maximum les dégâts du temps.

Cette décision c'est imposée au vu des différences de teintes entre bois neuf et bois d'origine, très difficile à retrouver.

Chaque lattes est donc démontée, poncées, puis refixées à l'aide des vis d'origine en Inox.

Auteur : ML

Décoration et accessoires, suite.

La réparation et la mise en peinture des 12 caisses à munitions se poursuit et se termine.

L'équipe de graphistes commencent alors à travailler sur la réalisation des pochoirs qui nous permettrons de réaliser les marquages noirs correspondant au type de munitions contenue dans ces caisses.

La peinture blanche à l'intérieur de la lanterne est également terminée.

La peinture extérieure peut commencer.

Nous attaquons aussi la restauration du caillebotis de la plateforme du mat.

Les anciennes lattes, usées par le temps sont démontées.

Maintenant que leurs remplaçantes neuves sont arrivées, il ne nous reste plus qu’à les ajuster, les patiner, les refixer et les poncer avant le traitement complet à l’huile des deux caillebotis …

Auteur : ML

Suite de la décoration " lourde".

Nous chargeons aujourd'hui l'ensemble mine marine et orin sur une palette.

Le tout est transporté jusqu'au musée à l'aide d'un chariot élévateur.

Une fois en place les sangles et la palette sont retirées.

Nous relâchons également 17 compagnons à écailles qui rejoignent leurs congénères dans le bassin.

De retour à l’atelier, nous commençons le nettoyage et la mise en peinture de caisse à munition en bois fournit par Manu d’Esistoire, merci à lui !

Les étiquettes en papier des caisses sont retirées, la colle de celles-ci est poncée.

Chaque caisse est nettoyé extérieurement, réparé si besoin, puis recouverte du gris kriegsmarine.

Ces caisses à munition une fois peints et marquées comme à l’époque serviront de décoration au port afin de parfaire l’ambiance « base naval allemande en temps de guerre ».

Auteur : ML

Décoration massive !

Nous nous occupons aujourd'hui d'un des éléments de décoration le plus imposant du port:

Une mine marine à orin allemande. L’ensemble mesure 2,15 mètres de haut pour un diamètre de 1,30 mètre.

Dans un premier temps, nous boulonnons les trappes de visite de la mine, puis nous nettoyons l'intérieure de l'orin.

Nous replaçons ensuite la mine sur son orin, est l'ensemble est nettoyé extérieurement.

Le tout installé demain dans le port, où les visiteurs pourront à terme, découvrir cette pièce rare dans le domaine des munitions navales allemandes.

Nous partons ensuite au bateau pour refixer les deux trappes précédamment restauré dans nos ateliers.

Nous nous occupons également du choix du cordage nécessaire au maintien du bateau à quai, ainsi que du positionnement des futures bouées de quai en chanvre.

La mise en peinture de l'intérieur de la lanterne tribord a commencé...

Auteur : ML

Remontage des accessoires.

Après une deuxième couche de peinture, nous remontons aujourd'hui les caisses/supports des lanternes tribord et bâbord.

Les boulons têtes bombées fendues qui les fixent sont retouchés à la peinture rouge et vert pour le recto, et en gris pour le verso.

La porte bâbord retrouve sa vitre et son encadrement mouluré en aluminium.

L'ensemble est revissé avec le même modèle de vis qu'à l'origine.

La vitre est protégée au scotch de peintre avant la mise en peinture de la porte.

Le mat retrouve lui aussi son emplacement d'origine.

Les vis de fixation manquantes ont été re-fabriquées. Ces dernières sont également retouchées à la peinture Hellgrau.

La restauration de la paire de lampes rouge et verte du port est terminée, nous la ramenons au port en attente de son installation par l’électricien.

Quatre nouveaux occupants sont introduits dans le bassin...

Nous remercions la famille Niess pour la fourniture hebdomadaire de ces poissons.

Auteur : ML

Restauration des lanternes.

Nous débutons aujourd'hui la restauration des lanternes tribord (verte) et bâbord (rouge) du bateau.

C'est Sèb qui a réussi à les dénicher sur un site internet bien connu de petites annonces.

Ces 2 pièces avaient été modifiées dans le civil en lampe électrique d'intérieur de style " industriel".

Nous commençons la restauration de ces lampes par le démontage de chaque filtre de couleur dont l'un est gravé " Hamburg".

Les petites portes de ces lanternes sont également démontées.

Au vu du nombre de couches de peinture, le décapage grossier s’effectue d'abord à la flamme, puis les optiques en verres sont démontées, et le décapage est terminé avec précision à la sableuse.

L'intérieur de la boite/support de la lampe tribord est peint en vert " signalisation" tandis que son homologue bâbord est lui peint en rouge "signalisation".

La restauration des lampes de décoration du port ce poursuit.
Le sablage puis la préparation à la mise en peinture sont à l’ordre du jour...

Auteur : ML

Remontage des portes.

La cabine de pilotage retrouve aujourd’hui à bâbord, le montant droit et le montant bas de sa porte ainsi que son seuil en aluminium.

Les ajustages de ces pièces en chêne sont réalisés au rabot électrique et à la rappe.

Les vis utilisées sont les mêmes que celles présentes à l'origine.

Les charnières sont fixées sur les portes bâbord et tribord puis l'ensemble est réglé et fixé aux montants.

Le point d'ancrage refabriqué à l'atelier est maintenant fixé au pont du bateau.

Des retouches de peintures sont effectuées sur les têtes des vis, une fois l’ensemble serré.

Le peuplement du bassin à également débuté...

Auteur : ML

"Alsace 20" en reportage à l'ASPHM !

Découvrez les coulisses de notre collection dans le reportage d'aujourd'hui sur la chaîne régionale "Alsace 20" !

http://www.youtube.com/watch?v=Y1HVEMOJd8Q

Auteur : ML

Article des DNA à l'ASPHM.

Découvrez l'article du journal "Dernières Nouvelles d'Alsace" en visite au port de La Wantzenau !


OHÉ DU BATEAU. Pour tenter de susciter la nostalgie marinière depuis une région comme l'Alsace, c'est tout simple: faire venir d'Amsterdam un bâtiment allemand de la dernière guerre, l'installer dans une piscine de 30 m creusée spécialement à cet effet, construire autour un hangar bétonné aux allures de base côtière, restaurer patiemment l'engin de 16 tonnes, jusqu'à retrouver sa couleur d'origine. Il ne reste plus qu'à remplir la fosse d'eau douce pour faire flotter le beau bateau. C'est la recette trouvée par Eric Kauffmann, collectionneur fortuné de matériel militaire, qui rêve d'ouvrir son musée privé dans la zone industrielle de la Wantzenau et a déjà rassemblé quantité de chars d'assaut et de blindés hétéroclites. Repos... (Photo DNA-Marc ROLLMANN)

Auteur : ML

Fin de la mise en eau !

Le remplissage reprends ce matin, préparation des tuyaux et du compteur, et à 9H00 ouverture de la vanne !

L'eau doit encore monter d'une trentaine de centimètres pour arriver dans les skimmers du bassin.

A 13H00, le bassin est totalement rempli.

Les sangles qui maintiennent le bateau sont détendues, puis celui-ci est avancé d'un mètre, afin que les portes de la cabine soit en face des ouvertures dans le garde-corps.

Une passerelle et une échelle devront être crées pour l’accès du public vers l’intérieur du bateau.

Enfin, nous déplaçons le FLB jusqu'à ce que son flan tribord soit en buté contre le quai.

Un premier habitant à fait son apparition dans le bassin...

Nous avons missionner ce petit crapaud pour monter la garde en vue d'éventuelle attaque sous-marine...

Auteur : ML

Mise en eau !!!

Un petit matin dans le brouillard automnal d'Alsace...

" Opération mise à l'eau du FL.B 442 "

Roulements de tambours...

Tout le monde est aux abois...

Sèb s'occupe de la mise en place du tuyau à incendie, raccordement au compteur puis à la borne...

Nous nous occupons de l'arrimage de sécurité, le quai est débarrassé de tous les outils n'ayant plus d'utilités, le percement du quai et des poutres en bois est fait, tout le matériel est prêt...

Il est 10h00, ouverture de la vanne !

Et c'est partit pour 5 heures de remplissage, sans aucun signe de vie du bateau…

Sèb s'occupe de la circulation, quant à nous, nous traçons l'emplacement des poutres en bois de protection du quai, et nous surveillons qu’aucune voie d’eau ne se déclare dans le bateau.

Les poutres en bois que vous voyez au fond et sur les côtés du bassin étaient également utilisées à l'époque pour protéger les flancs des bateaux et les quais.

A 15h00, le berceau en bois à la proue du bateau commence à bouger, il est temps de s’équiper et de se jeter à l'eau !

Au fur et à mesure que l'eau monte, le bateau commence à prendre la flottaison par l'avant.

Enfin, à 17h30, le bateau flotte intégralement !!! Ouf !

Nous sautons à bord, quel grand moment de le sentir bouger sous ses pieds ! Et quel plaisir de le pousser d’une main d’un côté à l’autre du bassin !!!

Nous boulonnons les quatre berceaux en bois aux quais, et nous déboulonnons les 4 chandelles en acier, sur lesquelles reposait le FLB.

A 18 heures, le bassin est rempli au deux tiers, le remplissage est stoppé pour la nuit, mais la mission est accomplie !

Suite du remplissage : Demain !

Auteur : ML

Mise en eau : Préparatif.

Ce matin nous terminons les retouches de peinture sur les têtes de vis des bordés inférieurs.

Le calfatage arrière est également retouché.

Les derniers outils restant dans le bassin sont remontés sur le quai, et nous continuons le ramassage de la vase au fond du bassin.

Le remplissage en eau du " port " est prévu pour lundi, et tout le matériel nécessaire a été rassemblé.

Encore un petit week-end d'attente, et vous pourrez voir le bateau flotter de nouveau après 15 mois de cale sèche et 4 mois de restauration extérieur...

A lundi !

Auteur : ML

"Calfatage"

Le calfatage est l'opération qui consiste à remplir tous les interstices entre les planches en bois d'un pont de bateau ainsi que les joints extérieur de la coque (bordé) et du pont d'un bateau afin de rendre l'ensemble étanche à l'eau.

Traditionnellement le calfatage s’effectuait à l'aide d'un mélange composé de filasse et d'un enduit bitumineux, le tout appliqué en force au maillet et au fer à calfat.

De nos jours, cette technique utilise des mastics chimiques en cartouches, ponçable et résistant au UV.

Auteur : ML

Remplacement des anodes soudées, et calfatage.

Nous terminons aujourd'hui de souder les anodes en " demi-poire" sur les safrans du bateau.

L'opération consiste d'abord à découper les 2 pattes en acier qui sont soudées sur le bateau.

Une fois la vieille anode désolidarisée du bateau, le reste de ses pattes et les soudures sont meulées, et la surface réceptrice décapée.

Sur les nouvelles anodes, nous plions les pattes en acier de façons à ce qu'elles encadrent bien le safran.

Une fois en place, les pattes de la nouvelle anode sont soudées à la baguette.

Le laitier de la soudure et éliminé au marteau, et la soudure brossée.

Une fois cette opération réalisée pour toutes les "demi-poire", nous recouvrons ces dernières -et leurs homologues en barrettes- de scotch papier.

Les zones où le métal a été mis à nu, et les pattes métalliques sont recouvertes d'anti-foulling rouge au pinceau.

A l'arrière du bateau, nous commençons le calfatage de l'interstice situé entre la coque et le pont.

Cette opération s’effectue à l'aide d'un mastic époxy spécialement conçue pour les planchers de bateau en bois.

Les bords du bois et de l'aluminium sont recouverts de scotch de peintre, puis le mastic est appliqué au pistolet et enfin, les bourrelets de ce produit sont étalés à l'aide d'une pomme-de-terre !

L'amidon étant un excellent anti-adhérent pour les mastic.

Nous remercions au passage Lydia pour la fourniture de ces tubercules !

La journée ce termine par la mise en peinture des têtes de vis en inox, fixant les baguettes en aluminium des bordés.

Nous terminerons demain les retouches de gris sur ces 400 vis.

Auteur : ML

Anodes, trappes, et mât.

Les 2 grandes paires d'anodes en lingots sont boulonnées à l'arrière du bateau.

Ces anodes sont composées d'un mélange d'aluminium très tendre et de magnésium, elles sont spécialement conçu pour protéger les coques en aluminium. Cette alliage, plus tendre que la coque du bateau est rongée plus facilement par l’effet d’électrolyse que la coque en elle même.

Ces anodes sont donc le "fusible" anti-corrosion du bateau.

Nous commençons également à souder sur les safrans les anodes en " demi-poire".

Enfin, les petites anodes en barrette sont re-surfassées à la machine afin de supprimer la gangue de corrosion, puis revissées sur les safrans.

Après leurs mises en place par soudure, des retouches d'anti-foulling rouge sont nécessaires.

A l'atelier, le mat à reçu sa dernière couche de peinture et reçois maintenant ses accessoires, eux aussi peints, et notamment le deuxième axe de verrouillage du mât, refabriqué par nos soins.

Le boitier de dérivation en bakélite subit une reconstruction de ses éléments cassés.

Après calfeutrage de leurs joints en caoutchouc et des vitrages, les trappes moteur opaque et vitrée reçoivent leurs première couche de peinture intérieur : le "Blanc Elfenbein", ou blanc ivoire.

Cette teinte était utilisé à l'origine pour l'intérieur des bateaux et des véhicules blindés.

L'intérieur de la trappe vitrée à double fenêtres (cabine avant) est maintenant en cours de décapage, face intérieur.

Auteur : ML

Les portes blindées.

En attente...

Auteur : MR

Remplacement des anodes et dernier nettoyage du bassin.

En vue du remplissage du bassin, nous passons la journée à nettoyer ce dernier.

Nous aspirons les saletés crée par le chantier, en suspension dans l'eau de pluie accumulée en fond de cale.

Les anodes venant d'être livrées, nous préparons leurs montages, et nous installons les 2 paires à l'avant du bateau.

Encore 2 paires à boulonner, 4 à souder, et le bateau aura retrouver complètement sa protection anti-électrolyse.

Auteur : ML

Intérieur de la cabine : c'est partit !

Nous commençons aujourd'hui le décapage intérieur de la cabine.

Un petit état des lieux, et hop nous attaquons !

Tout est bon pour faire disparaitre la peinture crevassé, écaillé, ou qui n’adhère plus aux différents supports :

-Ponceuse pneumatique ronde et pointu.
-Ponceuse électrique
-Disqueuse à brosse
-Perceuse à brosse
-Décapeur thermique
-Spatule
-Décapeur chimique
-Ciseau à bois
-Papier ponce à mains

A certains endroits la dizaine de couches de peinture atteins les 5mm d'épaisseur. Seul le décapeur thermique est efficace dans ce cas.

Nous démontons également les 2 portes type "saloon" menant à la salle des machines afin de gagner un ergonomie dans cette espace exiguë.

Elles seront remontées après la mise en peinture de la cabine.

Auteur : ML

Renfort de plateforme et peinture.

Les renforts en tube de la plateforme sont aujourd'hui rallongés. Il ne reste plus que le coude 130° à rajouter puis à souder l'ensemble sur place.

Le fer rond de protection du vitrage refabriqué hier est fixé sur sa fenêtre. Les fentes des 2 vis têtes bombées sont à reboucher au mastic de carrossier, et l'ensemble pourra être peint.

La trappe moteur, la fenêtre arrière, et les accessoires du mât sont recouvert d'une couche de primaire beige.

Auteur : ML

Soudures et quincailleries.

Fin des finitions pour la charnière refabriquée.

Nous refabriquons également sur cette trappe, le cylindre recevant l'axe du système de verrouillage.

Découpage, perçage centré, calage à l'aide d'un boulons M14 et de son écrou, puis soudure au TIG.

Toute la difficulté réside dans la soudure :

Le tube en acier doit être solidement soudé à la rondelle elle même en acier, sans pour autant détruire (sous l’effet de la chaleur et de l'arc électrique) les rivets en aluminium qui fixent la rondelle à la trappe.

Maintenant que toutes les réparations sont faites sur cette trappe, les restes de peinture non-adhérant sont supprimés, et les joints en caoutchouc protégés au sotch papier. La trappe est prête pour la peinture.

Les charnières de la fenêtre sont maintenant dégrippées, l'ensemble est poncé et brossé, puis les vitrages et les joints sont eux aussi marouflés avant peinture.

Sur une même fenêtre (toujours fixé sur le bateau), manque une barre de protection du vitrage. Nous allons donc la refabriquer elle aussi.

Après plusieurs essais infructueux, nous réalisons cette pièces à partir d'un " fer rond " en inox de 8mm de diamètre. L'inox étant très difficile à forger au marteau, de part sa résistance à la torsion et à l'écrasement, nous "rechargeons" les extrémités du rond à la soudure.

Une fois le métal d'apport en sur-épaisseur par rapport aux côtes finales, nous ajustons la pièces à la meule et à la lime.

Un petit sablage pour supprimer les traces de chauffes et de fumées, et hop !

Il ne reste plus qu'à riveter la pièce sur sa fenêtre et la peindre.

Le sablage et le re-dressage des pièces du mat se poursuit, et le remontage commence.

Auteur : ML

Refabrication d'une charnière de trappe.

Le fer plat de la charnière de la trappe moteur est fixé à l'aide de 2 vis têtes fraisées dont l'empreinte est rebouchée au mastic ( afin de recréer l'aspect riveté d'origine).

De l'autre côté de la trappe, les écrous sont soudés à leurs vis au TIG, arrondit grâce à la chaleur de l'arc, et matés au marteau. Cela recrée également la partie bombé des rivets d'origine.

Maintenant les choses sérieuse commence :

recréer la charnière mâle / femelle de la trappe du compartiment moteur.

Cette charnière a un axe de 6mm... de la très petite soudure en perspective.

De plus la trappe n'est pas un rectangle parfait, et les 2 charnières sont sur un axe non parallèle à la trappe...

Aucune référence auxquelles ce fier pour le positionnement !

" Bonjour l'angoisse !"

Pour commencer nous découpons 3 tranches de 8mm chacune, d'une paumelle à souder de 40mm.

Ces tranches sont mise en place sur le support de la charnière normalement fixé sur le bateau, puis quelques point fort de soudure au TIG, recto/verso.

Même opération pour la partie réceptrice sur la trappe: découpage, mise en place, ajustage et soudure.

Les soudures sont meulées et poncées. Les manques seront rechargés demain et ajustés à la lime.

La restauration des boitiers continu: sablage, remontage, et réparation des parties cassées à la fibre de verre résinée et au mastic de carrossier.

Nous recevons cette après-midi les 200 vis en inox "têtes fendues bombées fraisées" manquantes pour fixer les baguettes en aluminium côté bâbord.

Elles sont installées immédiatement sur la bateau.

Auteur : ML

Peinture et support du mât.

Ce matin, le mât est peint en primaire beige, ainsi que la tôle supportant les boitiers électriques.
La réparation à la soudure est maintenant complètement invisible.

La bouée est également en cours de réparation, les déchirures dans la toile sont refermées à l'aide de fibres résinées.

A bord du bateau, le support du mât en position replié situé sur la cheminé est refixé. Quelques retouches de peinture et la réparation sera elle aussi invisible.

L'ancre est maintenant arrimée à sa chaine, elle même insérée dans le treuil.

Le ponçage et le traitement du pont en bois étant encore à faire, le treuil n'est pour l'instant pas boulonné sur le bateau.

Auteur : ML

Journée à l’atelier.

Nous restons aujourd’hui à l’atelier pour travailler sur les petits accessoires à restaurer du bateau.

Au programme :

-Meuler et poncer les soudures alu du mat

-Sabler les boitiers électriques du mat

-Finir de souder, puis meuler et poncer les
soudures alu de réparation de la trappe

-Recréer la charnière en fer absente de cette trappe

-Retirer les rivets cassés sur les charnières de la fenêtre

-Recouper les tubes de renfort de la plateforme qui devront être raboutés

-Finir de décaper le corps de la bouée

-Commencer à sabler le système de signalisation rouge et bleu du port

A la fin de la journée, le mat est prêt à être peint en primaire, la bouée va pouvoir recevoir la fibre tressée de réparation, et les renforts en tube sont prêts à être soudé.

Auteur : ML

Restauration du mât.

Nous nous occupons aujourd'hui des divers travaux nécessaires à la restauration du mât.

En premier lieu, décapage complet de ce dernier, et préparation à la soudure.

Le mât en aluminium étant coupé en 2, nous allons le ré-assembler par soudure au TIG, avec métal d'apport.

La tôle supportant les boitiers électriques est totalement refabriquée à l'identique.

Les boitiers vont maintenant être décapés et réparés.

Auteur : ML

Soudure et petits travaux.

Les aigles ont reçus ce matin leur deuxième couches de peinture blanche. Une fois sec, nous les mettons en place et les boulonnons à l'aide des tiges filetées.

le taquet d’amarrage est lui aussi terminé, après 2 couches de peinture, il est mis en place temporairement dans l'attente de la visserie qui le fixera définitivement au pont du bateau.

Petit moment de plaisir, nous mettons également en place l'ancre à la proue du bateau. Cet équipement étant absent à son emplacement initial lors de l'achat du bateau, l'équipe découvre pour la première fois le nouveau visage du FLB avec cet accessoire.

Nous retournons à l'atelier pour divers petits travaux.

Nous redressons et ressoudons à l'aide du poste à soudé TIG le support en aluminium du mat ( lorsqu'il est en position replié).

Nous commençons également à recharger la tôle en aluminium d'une des trappes de la salle des machine, déchirée lors de la rupture de sa charnière.

Le mat en lui même subit également une cure de rajeunissement. Le support en tôle fixé sur ce dernier, supportant les boitiers et prise électrique est complètement déchiqueté par la rouille. Il est démonté et sera refait à neuf.

Auteur : ML

Refabrication du taquet : terminé !

La refabrication du taquet d'amarrage ce poursuit et ce termine aujourd'hui : bouchonnage du tube horizontal, perçage du tube principal, soudure des 2 tubes, de la platine, et enfin finition sur l'ensemble.

Une fois comparé au modèle original, la copie est recouverte de primaire beige.

Les aigles reçoivent également leurs première couche de peinture blanche.

Le décapage de la bouée ce termine, quelques petites déchirure seront à réparer.

Quant au treuil, le verso reçois sa couche "bis" de peinture .
C'est une pièces assez longue à recouvrir, car nous sommes contraint de la peindre sous différents angles afin d'atteindre les recoins des pignons, de la crémaillère, et de l'entrainement.

Auteur : ML

Immatriculations terminé !

Un grand moment nous attends ce matin,

C'est l'heure de décoller les pochoirs pour estimer la qualité des nouvelles immatriculations du bateau, réalisées à la peinture blanche.

Un seul défaut apparait à bâbord: sur le ventre supérieur du "B", la peinture encore légèrement humide est resté accroché au pochoir. Nous repositionnons celui ci, une petite retouche de peinture et hop, c'est parfait.

Les traits de positionnement au critérium sont délicatement gommés, et voilà, c'est fini !

Nous remercions l'équipe de graphiste pour la fabrication de ces pochoirs de haute qualités qui nous ont permis de réaliser les immatriculations!


Nous terminons également le décapage des aigles, les défauts sont mastiqués et poncés, puis la paire est recouverte de primaire beige.

Auteur : ML

F l . B 4 4 2

Le treuil reçois la couche " verso" de peinture grise.

L'ancre est descendu dans le bassin, prête à être raccrochée à sa chaine.

Les aigles sont maintenant en cours de décapage afin de retirer les couches de peintures noirs et grises, et permettre l'application d'une couche de blanc Grauweiss, comme à l'origine.

Après une longue réflexion et l'étude approfondit de photos d'époques de Flugbetriebsboot, nous avons décidé de modifier le marquage prévu initialement, afin de coller au plus prés des marquages d'origines.

En premier lieu, nous remplaçons la lettre 'L' majuscule par la lettre 'l' en minuscule.

Nous décalons le point vers sa gauche, et nous le rendons carré plutôt que rectangulaire.

Nous décalons également la lettre "B" majuscules vers sa gauche, afin que l’espace entre le ".", le "B" et le "4" soit "un tiers / deux tiers".

Une fois les modifications effectuées, c'est le grand moment : la mise en peinture !

Deux couches de blanc pour bien recouvrir le gris.

Nous avons fait le choix d'appliquer les marquages au pistolet afin d'éviter toutes réactions chimique entre les peinture dû au sur-couchage.

Une bonne nuit de séchage et demain matin, nous aurons la surprise du résultat après avoir retiré les pochoirs.

Auteur : ML

Taquet, bouée, et peinture du treuil.

Le treuil reçoit aujourd'hui une cure de rajeunissement, après l'avoir dégraissé, nous appliquons la peinture Hellgrau.

La fabrication du taquet ce poursuit, nous terminons l'ajustage au tour et réalisons l'arrondit de la rondelle supèrieur toujours sur machine.

Après plusieurs essais pour rafraichir la bouée, ( ponçage, décapage thermique et chimique ), nous optons pour la solution du décapage intégrale par grattage à la spatule, ce qui permet de retrouver la toile d'origine qui recouvre le liège.

Côté menuiserie, la liste des vis spécifiques s'allonge...

Auteur : ML

Refabrication du taquet d'amarrage.

Nous continuons la refabrication du taquet ( ou bollard ) d'amarrage manquant:

Fraisage de la platine, soudure au TIG de la rondelle supèrieur, ajustages des côtes de cette rondelle au tour...

Nous terminons également la fixation du 2ème aigle.

Le treuil est maintenant prêt à être peint.

Auteur : ML

Petits travaux divers.

Divers petits travaux nous attendes aujourd'hui :

Nous préparons les aigles pour leurs fixation sur la cabine.

Perçage de 3 trous borgnes, mise en place de trois tiges filetées elles même scellées dans le moulage, puis installation sur la parois en aluminium.

Nous avons également reçu la 2ème porte en bois de la cabine. Nous démontons les accessoires sur les anciennes pour les refixer sur les nouvelles.

Cette après midi, retour à l'atelier, début de la re-fabrication du point d'ancrage manquant, et restauration de la 1er bouée.

Auteur : ML

Mise en place des pochoirs : suite et fin.

Maintenant que tous les pochoirs bâbord sont mis en place, nous passons à tribord.

Nous suivons tout simplement la même procédure que la veille.

Le bateau est maintenant prêt à recevoir son immatriculation en " blanc gris RAL 9002 ".

Cette teinte identique à celle d'époque utilisée pour les insignes tactiques et les numéros
était désignée " Grauweiss".

Auteur : ML

Marquages aux pochoirs.

La journée a était entièrement dédié à la mise en place de pochoirs nous permettant de réaliser l'immatriculation " FL.B 442"

Pour la réalisation des pochoirs nous avons bénéficié de l'aide d'une équipe de graphiste.

Après avoir relevés toutes les côtes des anciens marquages, et photographiés ceci, ils ont pu redessiner les contours des lettres et des chiffres sur ordinateur.

Une fois ces plans réalisés, les données sont transmises à une découpeuse numérique, qui façonne les feuilles autocollantes.

Maintenant que les pochoirs sont découpés à façons, ils sont chacun recouvert d'une feuille adhésive qui permet d’appliquer en une seul fois la totalité du négatif d'une lettre.

Par exemple, les contours de la lettre "O", et son disque intérieur.

De retour au port, nous retraçons sur la coque les emplacements des caractères auparavant relevé sur croquis.

Nous retirons ensuite le film plastique inférieur de protection des pochoirs, puis après les avoir mis en place sur la coque grâce à l'autocollant du papier, le film supérieur de contre collage est enfin retiré.

Et voilà, les 7 caractères sont mis en place, leurs espacements sont comblés, et leurs périphéries marouflées afin de protéger la coque du brouillard de peinture blanche qui se dégageras lors de l'application au pistolet basse pression du blanc RAL 9002.

Auteur : ML

Ancre et décoration.

La rénovation de l'ancre ce termine aujourd'hui avec 2 couches d'antifouling noir.

Nous continuons a préparer la décoration de la cabine par l'ajout de 2 aigles de la luftwaffe en relief. Nous renforçons ces 2 moulages grâce à de la toile de verre résiné.

La préparation des marquages d'immatriculation sont en cours. Il ne reste plus qu'a retrouver le bon ordre !

Auteur : ML

Treuil, ancre et peinture jaune.

Nous terminons aujourd'hui la dernière couche de peinture jaune à tribord.

Nous pouvons maintenant retirer le scotch de peintre qui la délimitait.

Nous retirons également les 80 mètres de scotch papier qui protégeait le pont en bois et les vitres, lors de l'application de la peinture Hellgrau.

Après recherche sur document photo d'époque, et exploration de la cale avant, nous retrouvons l'emplacement exact du treuil.

Celui ci avait sans doute était démonté lors de la restauration du pont en bois par l'ancien propriétaire du bateau, qui n'avait pas refixé le treuil.

Après avoir dégrippé le mécanisme, l'ensemble fonctionne à merveille. Nous pouvons maintenant le décaper et le peindre en gris.

C'est à l'ancre de retrouver maintenant une seconde jeunesse : Décapage, dégraissage, application du primaire gris métallisé pour l'antifouling, et demain, 2 couches d'antifouling noir.

Auteur : ML

Remontage des baguettes, démontage des anodes.

C'est la reprise !

Au programme d'aujourd'hui, remontage des baguettes en aluminium côté bâbord.

Au total, 199 vis en inox "têtes fendues bombées fraisées" sont nécessaire au remontage.

Maintenant que les baguettes sont en place à bâbord, nous terminons la dernière couche de peinture jaune de la bande latéral.

Non démontons également les anodes en zinc boulonnées ou vissées sous la coque et sur les supports d'arbres de transmissions.

Les anodes qui sont soudées, sont laissées en place en attendant de trouver des exemplaires neuf identiques.

Les décorations ( comme à l'origine ) qui seront appliqué de chaque côté de la cabine viennent d'arriver. Nous les mettrons en place dans les jours à venir...

Auteur : ML

Les bollards

En attente...

Auteur : MR

On prends le large !

Tout l'équipage du FLB 442 lèvent l'ancre pour voguer pendant deux semaines vers de nouveaux horizons !

Le retour à quai est prévu le 3 septembre pour la suite du chantier de restauration à la base naval de La Wantzenau !

Bon été, et bon vent !

Auteur : ML

Scotch de protection et bandes jaunes.

Maintenant que l'antifouling rouge est sec, nous pouvons retirer les 45 mètres de scotch de protection en papier.

Après cela, nous terminons de délimiter les contours des bandes jaunes sur le flanc droit du bateau.

La première couche de peinture jaunes sur le côté gauche du bateau ayant mal réagit avec la précédente couche de peinture grise, nous sommes obligé de la poncer afin de supprimer les défauts.

Sur le flanc droit, nous ponçons la peinture grise avant même d'appliquer la 1èer couche de peinture jaune pour éviter tout risque d'incompatibilité...

Les secrets des réactions chimiques entre peinture sont loin d'être percés !!!

Après ponçage et dépoussiérage, nous appliquons une couche puis deux à bâbord et tribord.

Auteur : ML

Antifouling rouge : C'est fini !

La journée est entièrement consacré à terminer la première couche d'antifouling rouge, et à appliquer la 2ème couche sur la totalité de la coque.

Dix litres de ce produits ont été nécessaire pour réaliser les 2 couches rouge.

Auteur : ML

Primaire gris et antifouling rouge.

Aujourd'hui nous recouvrons l'ancien antifouling rouge de primaire gris métallisé à bâbord et à tribord.

L’accès est difficile jusqu’à l’arrête de la coque et nous sommes obligé de nous contorsionner pour l'atteindre.

Une fois le primaire terminé nous commençons à appliquer la première couche d'antifouling rouge.

Les anodes ne sont pas recouvertes de peinture, nous pourrons les changer une fois les 2 couches de peinture rouge terminées.

Auteur : ML

Marouflage et bandes jaunes

Ce matin, nous mettons en place le scotch de protection entre la bande d'antifouling noir neuve, et l'ancienne bande d'antifouling rouge.

Et hop encore 45 mètres de scotch appliqué sous la coque!

La peinture jaune des marquages viens d'être livré, nous ne résistons pas à délimiter les bords des bandes tactiques latérales.

Et tant que l'on y est, hopla 1ère couche de jaune à bâbord !

Le menuisier vient de nous ramener la porte bâbord refabriqué comme à l'identique, nous la complèterons et l'installerons dès que la coque est terminé.

Auteur : ML

Antifouling: c'est parti !

Ce matin nous appliquons la 3ème et dernière couche de primaire époxydique non dilué.

Lorsque celle-ci est encore légèrement humide, nous appliquons les retouches de primaire antifouling gris.

Le fait d'appliquer le dernier primaire avant le séchage complet du précédent permet une accroche mécanique ( collage ) en plus de l'accroche chimique.

Et maintenant c'est parti pour l'antifouling noir !!!

Une couche à tribord, une couche à l'arrière, une couche à bâbord, et hop on recommence à tribord pour la 2ème couche, puis l'arrière et enfin bâbord.

Cette logique de mise en œuvre permet de terminer la fin de la première couche quand son début et déjà sec ( 3 heures de séchage ).

A la fin de la journée, nous pouvons donc commencer à retirer le scotch de protection sous l’œil bienveillant de Sèb qui vérifie la qualité du travail effectué.

Auteur : ML

Primaire primaire !

C'est la journée du primaire !

Tout d'abord le primaire époxydique.

Nous appliquons celui-ci sur les parties en aluminium et en acier nu.

Celles ci ayant été précédament poncées et soumis au dérochant, nous appliquons une première couche de ce primaire blanc mélangé à son durcisseur, le tout dilué à 30%.

Les cônes d'entrainement des hélices sont également recouvert de ce produit, et le seront également par l'antifouling, et ceci afin de les protéger de toutes corrosion.

Pour rappel, les hélices ne seront pas remontées à leurs emplacements initial afin d'être présentée hors de l'eau au public.

Au bout de quatre heures, nous appliquons une 2ème couche de cette mixture mais cette fois non dilué.

Ce produit agit comme une sorte de pansement dans la protection de la coque. Il est utilisé uniquement sur des zones très localisées.

Pendant le temps de séchage entre les 2 couches nous avons terminé le marouflage de la bande d'antifouling noir, soit 90 mètres linaire de scotch papier !

Une fois le marouflage terminé, nous commençons à étaler le primaire spécial antifouling monocouche et monocomposant.

Ce produit agit comme un " scotch double-face " pour coller ensemble l'ancien antifouling (qui à pour mission par nature d'être anti-adhérent), et le nouvel antifouling qui sera le bouclier total pour la protection de la coque contre les attaques aquatiques.

Les deux côtés de la coque sont recouverts de ce produit gras d'aspect gris métallisé.

Demain matin nous pourrons passer la 3ème et dernière couche de primaire époxydique pour ensuite la recouvrir en retouches de primaire antifouling.

Auteur : ML

Préparation de l'antifouling.

Maintenant que la peinture des parties non immergées de la coque sont peintes, nous retirons le scotch de marouflage entre le Hellgrau et l'antifouling noir.

Nous asséchons et nettoyons le bassin afin de pouvoir travailler allonger sur un "dos-rouleur" sous la coque.

Les parties en aluminium nues sont recouvertes d'un dérochant à base d'acide nitrique afin de permettre une bonne accroche du primaire époxydique qui sera appliqué demain.

Le produit est rincé à l'eau clair au bout de 20 minutes afin de stopper les effets de l'acide.

Le reste de la coque déjà recouvert d'antifouling que nous avons poncé précédamment est maintenant dépoussiéré.

Nous commençons à maroufler la bande d'antifoulling noir.

Cette bande noir sera demain recouverte intégralement de primaire spécial antifouling.

Auteur : ML

Fin de la 2ème couche !

La 2ème couche de peinture ce termine sur la cabine.

Les accessoires fixes on reçu leurs 3ème et dernière couche de gris, le marouflage est donc retiré.

La chaine de l'ancre reçoit sa première couche de peinture noir mat.

Les baguettes en aluminium des bordés tribord sont mise en Hellgrau.

Les bordés fraichement installés sont également recouvert d'une première couche de gris.

Au poste de pilotage nous commençons à démonter les montants en bois abimés du cadre de la porte, nous pourrons ainsi les réparer avec des morceaux de chêne neuf du même profil, fournit par la menuiserie Jund.

Auteur : ML

Finitions des bordés et peinture.

Nous terminons le masticage et le ponçage des bouchons de patte à bois sur les bordés.

Une fois dépoussiérés nous appliquons le primaire sur le bois brut.

Quel dommage de dissimuler la belle teinte de ce bois, mais nous souhaitons rester conforme à l'origine.

Nous continuons de terminer la 2ème couches de gris sur les éléments du pont.

La chaine de l'ancre reçois sa couche " verso " de primaire.

Les manches à air avants et centrales sont également peints en noir mat.

Auteur : ML

Installation des bordés.

Les bordés reviennent de la menuiserie où ils ont été retaillés.

Nous les mettons en place puis, sous contrainte à l'aide de deux grands serre-joints afin de leurs donner
le " galbe " d’origine.
Une fois bien installés, ils sont fixés à l'aide de boulons tête bombée collé carrés serrés depuis l'intérieur du bateau.

Le menuisier vient une dernière fois pour ajuster les raccords au rabot et à la ponceuse.

L’espace entre les bordés anciens et les neuf est comblé à l'aide de patte à bois, tout comme le fraisage permettant aux têtes des boulons de s'insérer dans le bois.

D'autre part, nous continuons à peindre en primaire beige, et en gris les accessoires fixes :

Points d'amarrages, chaine de l'ancre, boitiers des feux de position vert et rouge, la double fenêtre de la cabine et son châssis.

Également 2 couches de peinture noir mat dans les manches à air. Celles-ci permettent la bonne ventilation de la salle des machines.

Nous remercions la menuiserie JUND à Weyersheim pour leur aide lors de la refabrication des bordés.

Auteur : ML

Les gardes-corps.

En attente...

Auteur : MR

Hellgrau à tribord et bordés neuf

Aujourd'hui nous mettons en gris hellgrau la totalité de la coque tribord ainsi que certains accessoires fixe.

Après cela, les menuisiers entre en action pour remplacer les deux bordés de pont en bois totalement détruits.

Le bordé à gauche du bateau encore en place est tranché à la scie circulaire au niveau du bois encore sain, puis les anciens boulons qui le retiennent encore sont coupés à la disqueuse, et chassé à coup de marteau.


La découpe, l'ajustage et le perçage des bordés neuf ce fait sur place, mais un coup de déligneuse à l'atelier sera quand même nécessaire demain, avant leurs installation final.

Auteur : ML

Primaire à tribord !

Au programme d'aujourd'hui:

- une couche de primaire sur la totalité de la coque à tribord
- remontage à blanc des baguette en aluminium sur les bordés bâbord
- deux couches de primaire recto-verso sur les baguette en aluminium tribord
- une couche de primaire sur le cadre de la trappe de soute
- suite de la 2ème couche de peinture grise sur la cabine.
Au programme de demain, 1ere couche de peinture Hellgrau sur la coque à tribord !

Auteur : ML

"Tribord"

Tribord est le côté droit d'un bateau lorsque l'on regarde vers l'avant de celui ci. Ce mot peut désigner tout ce qui ce trouve à droite de l'axe central du navire.

Auteur : ML

"Bordé"

Un bordé ( ici principalement bordé de pont ) est une partie de la coque fixé extérieurement sur la structure de celle ci. Il doit être étanche et résister aux assauts de la mer ainsi qu'aux chocs minime du bateau contre un quai.

Auteur : ML

"Bâbord"

Bâbord est le côté gauche d'un bateau lorsque l'on regarde vers l'avant de celui ci. Ce mot peut désigner tout ce qui ce trouve à gauche de l'axe central du navire.

Auteur : ML

Superstructure : 2ème couche de peinture

Nous terminons la préparation pour la 2ème couche de peinture de la cabine.

Au programme :
Déboulonnage du mat central qui doit être ressoudé en atelier
Découpage à la disqueuse d’un renfort métallique très attaqué par la rouille, qui sera en partie refabriqué à l’atelier
Redressage de la tôle du puits de canon très cabossé,
Perçage des rivets cassés d’une charnière
Dévissage des supports de la main courante absente.
Après ça, comme d’habitude, dépoussiérage, dégraissage, et application de la 2ème couche de gris 7001.
Petite fantaisie, le 1er accessoire arrive !
La suite mardi prochain !

Auteur : ML

Hellgrau à bâbord !

Maintenant que le primaire est sec sur la coque à bâbord et à la poupe,
il est temps de le recouvrir de gris " Hellgrau ".

Une nouvelle fois, le changement est plaisant!

Nous remontons sur le pont pour continuer à supprimer par ponçage les défauts sous la première couche de peinture, et préparer les endroits qui n'avaient pas pu être peint.

Auteur : ML

Peinture de la coque : 2ème épisode !

Nous continuons d’appliquer sur la coque du bateau la peinture primaire beige.

Arrivé maintenant à tribord le dépoussiérage et le dégraissage sont au programme.

Mais nous sommes vite à court de primaire beige , et en attente de sa livraison prévu début de semaine prochaine.

Nous remontons donc à bord pour commencer à éliminer sur la superstructure tout les défauts apparus sous la nouvelle couche de peinture grise et beige.

Auteur : ML

Peinture de la coque : On vire à babord !

Le masticage et le ponçage des bordés en bois ce termine aujourd'hui.

Après les avoir dépoussiérés et dégraissés,nous marouflons leurs jonctions avec le pont en bois (afin de ne pas le souiller de peinture) à l'aide de scotch de peintre en papier.

Nous commençons à appliquer le primaire beige sur le flanc gauche du bateau ( bordés et coque ), ainsi que sur les baguettes en aluminium de ces bordés.

Auteur : ML

On passe à la coque !

Début de la première couche de primaire sur la coque!

Nous commençons pas le haut du bouclier de la proue, accessible depuis le pont du bateau, et nous descendons dans le bassin pour commencer par l'arrière du bateau où les essais de peinture concluant avaient été effectué.

Parallèlement, nous démontons certains accessoires qui ne sont pas d'origine : Antenne américaine, prise de port moderne.

Le ponçage et le masticage des bordés ce poursuit.

Auteur : ML

Peinture : Suite et fin de la 1ère couche !

Les premières couches de primaire beige et de peinture grise sont terminées.

Certains défauts ressortant sous la peinture seront à éliminer.

La prochaine couche de peinture sera intégralement grise.

Petite infos : La teinte de la peinture utilisée pour repeindre le bateau est un " RAL 7001 ", le même que celui utilisé pendant la seconde guerre, mais appelé à l'époque " Hellgrau 50 "

Auteur : ML

Peinture !!!!!

Et voilà, une journée entière à peindre ! Enfin !

Du gris sur les surfaces saines, du primaire jaune sur les métaux à nu.

Le tout appliqué au petit rouleau et pinceau.

Petit à petit, le bateau rajeunit !

Auteur : ML

Préparation avant peinture.

Après un léger ponçage sur certaine partie de la superstructure, nous commençons le calfeutrage et le dégraissage des parties à peindre.

Certaines parties où le métal est nu seront peintes avec deux couches de primaire, puis avec 2 couches de peinture grise.

Les autres recevront 3 couches de peinture grises.

Auteur : ML

On touche du bois !

Nous continuons le ponçage des bordés supérieurs et inférieurs, avant et après application de la patte à bois.

Encore un petit essai de peinture, cette fois sur les pièces d'amarrage galvanisées après un léger ponçage.

Auteur : ML

Baguettes et patte à bois.

Le décapage des baguettes en aluminium ce termine.

Nous préparons les bordés abimées pour leurs réparation à la patte à bois.

Il faut curer le bois pour retirer les fibres pourris qui tiennent encore, nettoyer le tout à l'air comprimé et étaler la patte à bois bi-composant.

Les parties profondément abimées seront rebouchées en plusieurs couches.